dimanche 19 décembre 2010
dimanche 28 novembre 2010
à
15:06
titre
la vie est bizarre et parfois j'ai envie de mourir - tout ceci sonnerait évidemment bien mieux en anglais
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Autoportrait
dimanche 10 octobre 2010
à
16:52
quitte à pas travailler ... (c'est gentil de lire mon blog)
c'est parce que yann est jaloux que je peux plus faire l'amour.
c'est pas parce que je saigne.
c'est parce que je suis hypocondriaque que j'ai des carences en fer.
c'est pas parce que je saigne.
ET TOUS LES JOURS
A TOUS LES POINTS DE VUE
JE VAIS DE MIEUX EN MIEUX
c'est pas parce que je saigne.
c'est parce que je suis hypocondriaque que j'ai des carences en fer.
c'est pas parce que je saigne.
A TOUS LES POINTS DE VUE
JE VAIS DE MIEUX EN MIEUX
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ADOLESCENCE,
Je parle
mercredi 7 juillet 2010
mardi 8 juin 2010
samedi 1 mai 2010
à
19:36
corali a dit
"sinon, moi, j'en ai marre d'écrires des thèses de 18pages sur la vie et ses côtés merdiques (tous)."
et pendant plus d'un mois, j'ai été heureuse !
et pendant plus d'un mois, j'ai été heureuse !
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Je cite
vendredi 23 avril 2010
à
19:36
il y a très très longtemps
I didn’t go to the moon, I went much further – for time is the longest distance between two places –
Not long after that I was fired for writing a poem on the lid of a shoebox.
I left Saint Louis. I descended the steps of this fire-escape for a last time and followed, from then on, in my father’s footsteps, attempting to find in motion what was lost in space – I travelled around a great deal. The cities swept about me like dead leaves, leaves that were brightly coloured but torn away from the branches.
I would have stopped, but I was pursued by something. It always came upon me unawares, taking me altogether by surprise. Perhaps it was a familiar bit of music. Perhaps it was only a piece of transparent glass –
Perhaps I am walking along a street at night, in some strange city, before I have found companions. I pass the lighted window of a shop where perfume is sold. The window is filled with pieces of colored glass, tiny transparent bottles in delicate colors, like bits of a shattered rainbow.
Then all at once my sister touches my shoulder. I turn around and look into her eyes.
Oh, Laura, Laura, I tried to leave you behind me, but I am more faithful than I intended to be!
I reach for a cigarette, I cross the street, I run into the movies or a bar, I buy a drink, I speak to the nearest stranger - anything that can blow your candles out !
[Laura bends over the clandles.]
- for nowadays the world is lit by lightning ! Blow out your candles, Laura - and so good-bye.
[She blows the candles out.]
THE SCENE DISSOLVES
Tennessee Williams - The Glass Menagerie
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Je cite,
L'iLLu dit tout
dimanche 28 février 2010
à
21:56
le tube n'est jamais loin, au pire des cas caché sous mes culottes,
et la boîte bleue toujours à mon chevet.
au plaisir d'enlever l'aluminium du pot de nutella
je préfère déshabiller ma nivea,
délicatement, découvrir sa chair
exquise, blanche et ronde.
le soir
je l'emmène dans mon lit,
je m'en mets de partout:
sous mes yeux, sous mes pieds,
tout au bout de mon nez,
au creux de mes rides naissantes et sur mes lèvres,
pour mes mains pendant l'hiver,
ou mes joues brulées en été.
nivea crème mange ma bouche,
couvre ma peau, la caresse,
nivea est épaisse,
elle pénètre doucement, jamais complètement
(je l'aime comme ça)
le matin elle ne disparait pas,
elle est là.
je me lève, je me lave et enfin elle s'en va.
nivea crème
est fidèle.
nivea crème tient ses promessesle tube n'est jamais loin, au pire des cas caché sous mes culottes,
et la boîte bleue toujours à mon chevet.
au plaisir d'enlever l'aluminium du pot de nutella
je préfère déshabiller ma nivea,
délicatement, découvrir sa chair
exquise, blanche et ronde.
le soir
je l'emmène dans mon lit,
je m'en mets de partout:
sous mes yeux, sous mes pieds,
tout au bout de mon nez,
au creux de mes rides naissantes et sur mes lèvres,
pour mes mains pendant l'hiver,
ou mes joues brulées en été.
nivea crème mange ma bouche,
couvre ma peau, la caresse,
nivea est épaisse,
elle pénètre doucement, jamais complètement
(je l'aime comme ça)
le matin elle ne disparait pas,
elle est là.
je me lève, je me lave et enfin elle s'en va.
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ADOLESCENCE,
Je parle
dimanche 10 janvier 2010
à
11:17
je croyais être quelqu'un, je voulais être quelqu'un, mais je ne suis personne
consommation étalage exposition débordement EXCÈS
= SATURATION
perte d'exception, banalité, nique l'abondance, il n'y a plus d'art, rien que des côtelettes d'agneau dévorées
c'est pasgyuufkhkjikrezftmom
merci de me rappeler à la réalité
= SATURATION
perte d'exception, banalité, nique l'abondance, il n'y a plus d'art, rien que des côtelettes d'agneau dévorées
c'est pasgyuufkhkjikrezftmom
merci de me rappeler à la réalité
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